Abstract |
Mis en place fin 1994 à Madagascar, le projet Madio, dont il est dressé le bilan des quatre premières années d’activité, s’est appuyé sur des options méthodologiques fortes. Comme toute expérience novatrice, ce programme de recherche ambitieux a adopté un certain nombre de partis pris au départ risqués, donc contestables et d’ailleurs contestés. Ces principes tournent autour de l’intégration de fonctions traditionnellement déconnectées : production statistique et analyse économique d’une part, recherche scientifique et diffusion d’autre part. |