L’occupation des espaces restent encore tributaire des précipitations dans les zones semi-arides malgré leurs fluctuations. C’est surtout le domaine agricole qui subit tous les aléas climatiques d’autant plus que les précipitations ont tendance à une baisse appréciable. Analyser la dynamique de l’occupation des espaces entre deux périodes à savoir 1913-1938 et 1978-2010 permet d’apprécier la tendance de l’évolution. Les résultats obtenus soulignent la régression de l’espace forestier qui passe de 16500 ha à 15500 ha alors que l’espace agricole augmente de 1700 ha tandis que la superficie de l’espace pastoral connait une augmentation de 600 ha. Les fluctuations des précipitations ne semblent pas agir sur la superficie puisque la politique agricole encourage la pratique agricole et pastorale mais c’est sur les spéculations que les précipitations agissent. |