Abstract |
A l’instar des villes Algériennes, après la dissolution de sa Régie Municipale RMCA, la ville d’Annaba, n’a pas échappé aux effets négatifs générés par la libéralisation du secteur de transport impulsé par la loi n° 88-17 du 10 mai 1988 portant orientation et organisation des transports terrestres, et dont ses effets qualifiables de «stigmates» demeurent à ce jour. Cet article se penche sur l’opération de libéralisation ordonnée par l’état pendant le début des Années 90, en proposant un phasage chronologique relatif à son évolution, tout en mettant la lumière sur ses effets les plus manifestes à l’échelle nationale et surtout sur le plan urbain par rapport au périmètre de transport de la ville d’Annaba, ceci à travers ses différents volets organisationnels et fonctionnels. |