La marginalisation périphérique communale, caractéristique des pays
victimes de la colonisation et qui dans leur processus de développement sont restés
fidèles aux acquis infra structuraux urbains des villes concernés, constitue du
point de vue éthique, l’amoralité (le mal) en matière de développement.
Une morale sociale (bien) viserait une synergie centre- périphérie communale
de développement. Ceci, afin de pallier la marginalisation périphérique communale.
Ce qui va centrer les préoccupations sur les textes juridiques, les infrastructures
devant assurer une cohésion et les échanges entre le centre et les périphéries
communales.
Une telle action serait de nature à briser les crises de gouvernance des
années d’indépendance et des années 1980-2000.
Ce qui, en ces dernières années, d’adoption des programmes d’ajustement
structurel, de dévaluation du FCFA, de libéralisation financière, constitue une
préoccupation majeure du point de vue de la bonne gouvernance. La transition
politique centrée sur le cadre de dialogue sociale, les règles démocratiques dont les
élections et bien d’autres, pourra constituer une véritable option en faveur du
développement centre –périphérie communale.